Dans ce concert, le public découvre une œuvre baroque bien connue sous un jour tout à fait différent, à l'image de la manière dont nous percevons en fait chaque jour notre espace de vie : des bâtiments historiques classés côtoient des bâtiments et des infrastructures modernes. Le clavecin, avec son accord historique, et les percussions, avec leur langage moderne, s'harmonisent à merveille.
Jean-Sébastien Bach a donné à ses Variations Goldberg le titre "Aria avec diverses modifications" - un grand understatement ! Nous ne savons pas s'il y avait à l'époque beaucoup de clavecinistes capables de jouer cette œuvre comme leur compositeur ou son élève génial Johann Gottlieb Goldberg. Le fait est que les mélomanes de l'époque de Bach ont pratiqué cette œuvre pour clavecin jusqu'au désespoir. Reste à savoir s'ils ont ressenti la "Gemüthsergötzung" (délectation de l'âme) à laquelle aspirait son créateur !
Les Variations Goldberg comme somnifère ?
Une anecdote entoure le titre de l'œuvre. Selon la légende, Bach aurait écrit les Variations Goldberg pour son bienfaiteur, le comte Keyserlingk de Dresde. Celui-ci souffrait d'insomnie aiguë. Goldberg, l'élève de Bach, était claveciniste attitré du château de Keyserlingk et jouait certaines parties de l'œuvre au comte pendant ses nuits d'insomnie.
Nous partons aujourd'hui du principe que les variations agissent plutôt comme un fortifiant et un stimulant que comme un somnifère, tout particulièrement sous la forme actualisée et passionnante du concert du 24 novembre.
Note : Ce texte a été traduit par un logiciel de traduction automatique et non par un traducteur humain. Il peut contenir des erreurs de traduction.
Jean-Sébastien Bach a donné à ses Variations Goldberg le titre "Aria avec diverses modifications" - un grand understatement ! Nous ne savons pas s'il y avait à l'époque beaucoup de clavecinistes capables de jouer cette œuvre comme leur compositeur ou son élève génial Johann Gottlieb Goldberg. Le fait est que les mélomanes de l'époque de Bach ont pratiqué cette œuvre pour clavecin jusqu'au désespoir. Reste à savoir s'ils ont ressenti la "Gemüthsergötzung" (délectation de l'âme) à laquelle aspirait son créateur !
Les Variations Goldberg comme somnifère ?
Une anecdote entoure le titre de l'œuvre. Selon la légende, Bach aurait écrit les Variations Goldberg pour son bienfaiteur, le comte Keyserlingk de Dresde. Celui-ci souffrait d'insomnie aiguë. Goldberg, l'élève de Bach, était claveciniste attitré du château de Keyserlingk et jouait certaines parties de l'œuvre au comte pendant ses nuits d'insomnie.
Nous partons aujourd'hui du principe que les variations agissent plutôt comme un fortifiant et un stimulant que comme un somnifère, tout particulièrement sous la forme actualisée et passionnante du concert du 24 novembre.
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Aperçu des rendez-vous
Bon à savoir
Informations sur les tarifs
Entrée libre, collecte
Interlocuteur/trice
Vespern auf dem Bödeli
3800 Matten